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E-mailing: banque-assurance et luxe performent

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E-mailing Solution a publié les résultats du baromètre des performances e-mailing par secteur d'activité pour les deux derniers trimestres 2006.

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Créé pour répondre aux besoins des 300 utilisateurs d'Emailing Solution, le baromètre des performances e-mailing a pour vocation première d'aider l'ensemble des e-mailers à situer leurs statistiques de retours par rapport à celles de l'ensemble des acteurs de leur secteur.

Ce benchmark analyse les envois de courriers électroniques d'une part à destination du grand public (B to C) et, d'autre part, à destination des entreprises (B to B). L'étude porte sur six secteurs d'activité en B to C, un secteur unique regroupant toutes les activités B to B mais elle se penche aussi sur plusieurs critères: validité des adresses (NPAI), taux d'ouvreurs des courriers, taux de cliqueurs, taux de désabonnements, taux de réactivité (soit le taux de clics sur les mails ouverts), nombre moyen de clics par cliqueur. Les principaux indicateurs confirment la stabilisation annoncée depuis plusieurs mois. Ainsi, entre 2004 et 2005, on constatait une baisse importante des taux d'ouvreurs et de cliqueurs, entre 19 et 25%. Entre 2005 et 2006, la baisse existe toujours, mais elle est plus modérée (entre 14 et 20%). Quant aux autres indicateurs, après une forte augmentation des NPAI et des désabonnements entre le premier semestre 2005 et le premier semestre 2006, ceux-ci restent globalement stables depuis début 2006: 0,13% de désabonnés et 11% de NPAI.

En comparant les secteurs d'activité, le luxe et la banque/assurance accaparent les meilleurs résultats, tandis que le tourisme et les entreprises du B to B obtiennent respectivement les moins bons taux d'ouvreurs et de cliqueurs. A noter que les deux premiers secteurs délivrent un message très travaillé, avec une cible bien identifiée et réactive. Le Tourisme connaît une activité très saisonnière et ses volumes d'envoi importants, encore peu ciblés, aboutissent à des taux inférieurs. Quant aux entreprises du B to B, elles offrent souvent un message plus informationnel que véritablement promotionnel, contenant moins de liens, ce qui explique en partie le faible nombre de clics.

 
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Jérôme Pouponnot

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