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Audentify veut sa part du vocal

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L'éditeur anglais Autonomy (gestion de l'information non structurée) a présenté récemment sa filiale Audentify, qui propose un service de reconnaissance vocale et textuelle.

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L'univers du vocal, en pleine croissance, attire les nouveaux entrants. C'est le cas, par exemple, d'Audentify. Cet éditeur est une filiale d'Autonomy, qui commercialise des logiciels de gestion de contenu de l'information, non structurée, des entreprises. Ils s'appuient sur la plate-forme IDOL (Intelligent Data Operating Layer). L'éditeur britannique revendique 600 clients grands comptes, sur tous les marchés, dont, en France, Pechiney, Lafarge, Total, le Crédit Lyonnais, etc. Sa filiale Audentify vise, elle, le secteur des centres de contacts. Elle a mis au point sa propre technique de reconnaissance de la parole à partir des produits de Dremedia, société rachetée par Autonomy. La suite logicielle d'Audentify est composée de quatre produits. Record (basé sur la technologie de Nice), pour la partie enregistrement des conversations ; Voice Analytics, pour catégoriser les appels ; Evaluation, pour l'édition de rapports et enfin, Assist, pour indexer les documents. Un module permet d'analyser le contenu des mails. « Nos logiciels s'intègrent sur les principaux PABX du marché et nous avons mis au point 215 connecteurs pour s'interfacer avec les progiciels de CRM », détaille Emmanuel Meriot, directeur des ventes Europe du Sud d'Audentify. Bien qu'il soit récent sur ce secteur, Audentify affiche ses ambitions : « Nous voulons devenir leader dans la reconnaissance de la parole en langage naturel », affirme Ian Black, directeur marketing d'Autonomy. L'éditeur vise les grands comptes dans les domaines des télécommunications, de la banque et de l'assurance. L'objectif de ces programmes est de réduire le temps de traitement des appels, d'améliorer la qualité des échanges avec les clients, de surveiller les performances individuelles des opérateurs. Le système doit permettre de fournir une assistance aux opérateurs et d'identifier les problèmes potentiels. La suite logicielle est disponible à partir de 100 000 euros ; son retour sur investissement serait de 9 à 12 mois, selon l'éditeur.

 
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Patrick Cappelli

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